Dans l'Oeil de LilOu

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Cinéma


Imitation Game - Film

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Le film drame / biopic Imitation Game, de Morten Tyldum avec Benedict Cumberbatch (Alan Turing), Keira Knightley (Joan Clarke), Matthew Goode (Hugh Alexander).

 

Synopsis : En 1940, Alan Turing, mathématicien, cryptologue, est chargé par le gouvernement Britannique de percer le secret de la célèbre machine de cryptage allemande Enigma, réputée inviolable.

 

Alors moi, pour le coup j’ai beaucoup aimé ce film. Et puis de toute manière tout ce qui touche la Seconde Guerre mondiale me passionne.

 

De plus, il s’agit d’une histoire vraie ce qui nous amène à augmenter nos connaissances questions d’histoire.

 

Benedict Cumberlatch, campe le rôle d’Alan Turing (le personnage principal donc) qui a la difficile tâche de jouer un mathématicien homosexuel, et retissant envers les personnes. Un rôle, qu’il a merveilleusement bien joué. Cependant, le fait de faire introduire une femme au casting, Keira Knightley dans le rôle de Joan Clarke, était peut-être en trop mais appréciable aussi.

 

Le scénario tient la route tout le long du film, (même si le début du film a du mal à démarrer) qui de plus est composé de flash-back sans trop en faire non plus. Et les décors sont simplement magnifiques, et ne parlons pas de la bande son qui est juste sublime.

Ce film nous plonge réellement dans ce passage de l'histoire, avec tout les problèmes de l'époque, c'est à dire l'homosexualité, la légalité des femmes face aux hommes etc.

 

Un très bon biopic, intelligent qui nous dévoile une part de l’histoire de cette Seconde Guerre mondiale avec passion.

 

Un oscar à venir ?! 


02/06/2015
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Cendrillon - Film

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Le film fantastique Cendrillon, de Kenneth Branagh par les studios Disney, avec Lily James (Ella / Cendrillon), Cate Blanchette (La belle-mère Lady Tremaine), Richard Madden (le Prince), et Helen Bonham Carter (la fée Marraine).

 

Synopsis : Le père d’Ella, un marchand, s’est remarié après la mort tragique de la mère de la jeune fille. Pour l’amour de son père, Ella accueille à bras ouverts sa nouvelle belle-mère et les filles de celle-ci, Anastasie et Javotte. Mais lorsque le père d’Ella meurt à son tour, la jeune fille se retrouve à la merci de sa nouvelle famille, jalouse et cruelle. Les trois méchantes femmes font d’elle leur servante, et la surnomment avec mépris Cendrillon parce qu’elle est toujours couverte de cendres. Pourtant, malgré la cruauté dont elle est victime, Ella est déterminée à respecter la promesse faite à sa mère avant de mourir : elle sera courageuse et bonne. Elle ne se laissera aller ni au désespoir, ni au mépris envers ceux qui la maltraitent. Un jour, Ella rencontre un beau jeune homme dans la forêt. Ignorant qu’il s’agit d’un prince, elle le croit employé au palais. Ella a le sentiment d’avoir trouvé l’âme sœur. Une lueur d’espoir brûle dans son cœur, car toutes les jeunes filles du pays ont été invitées à assister à un bal au palais. Espérant y rencontrer à nouveau le charmant Kit, Ella attend avec impatience de se rendre à la fête. Hélas, sa belle-mère lui défend d’y assister et réduit sa robe en pièces… Pendant ce temps, le Grand-Duc complote avec la méchante belle-mère pour empêcher le Prince de retrouver celle qu’il aime... Heureusement, comme dans tout bon conte de fées, la chance finira par sourire à Ella : une vieille mendiante fait son apparition, et à l’aide d’une citrouille et de quelques souris, elle va changer le destin de la jeune fille…

 

Donc une fois n’est pas coutume, j’ai été déçu et je me suis ennuyée du début à la fin.

 

Bref, le commencement et le plus important l’histoire ; même si la véritable histoire de Cendrillon est celle de Charles Perrault, nous connaissons par cœur celle du dessin animé de Walt Disney. Et cette fois-ci, nous avons droit à une autre histoire, beaucoup plus triste et sombre que les précédentes.

 

Personnellement, je vais être honnête avec vous, la version de Charles Perrault est plutôt vague dans mon esprit, mais je n’ai cessé de comparer avec celle de Walt Disney.

 

Effectivement, nous savons tous que Cendrillon perd son père et que la méchante belle-mère « hérite » de cette dernière, et la considère comme la bonne à tout faire, jusqu’au jour où Cendrillon décide d’aller au bal organiser par le Prince afin de trouver une Princesse (...). Hors dans cette version l’histoire est totalement changée, [SPOILER : par exemple, nous découvrons la vie d'Ella avant la disparition de ses parents ; elle rencontre le Prince dans la forêt (...)] ce qui nous embrouille complètement l’esprit.

 

Cependant, les costumes sont plaisants mais pas bien surprenants, [SPOILER : la robe de bal de Cendrillon, enfin Ella, est certes magnifique mais pas « magique » au sens propre du mot] qui par ailleurs, on était confectionné par la costumière trois fois vainqueurs aux oscars Sandy Powell et les décors très peu réalistes et pas très extraordinaires pour un Walt Disney. Ce qui m’amène à l’utilisation de l’animation sur les fameuses souris qui entourent Ella, tout au long de son aventure, mais que j’ai trouvé de trop, et où j’aurai opté pour une version « dessin animé » car elles étaient vraiment moches.

 

Pour la musique, idem, rien de bien surprenant, et aucune ne me restera en tête comparer au précédent Walt Disney.

 

Passons maintenant au casting, et tout d’abord Ella / Cendrillon, interprétée par Lily James, que j’ai trouvé niaise à mourir, et je n’avais que d’une chose, lui donner une bonne gifle pour la secouer un peu. Certes, ses parents n’ont cessé de lui répéter d’être bonne et gentille avec autrui mais là, c’était un peu trop, et elle m’a laissé indifférente. Cate Blanchette, relève légèrement le niveau même en méchante et tyrannique belle-mère, même si je n’aurai pas forcément choisi cette actrice dans un rôle pour chez Disney. Et pour Helena Bonham Carter, (qui est une actrice que j’admire mais je n’ai pas trop compris ce choix), elle campe le rôle de la fée marraine, d’une manière assez niaise également, sans inspirer la réelle bonté que l’on connaît de cette bonne fée, et puis nous avons l’habitude de voir Helena Bonham Carter dans des rôles plus sombre et moins « féérique » donc je pense que cela y fait beaucoup dans ma perplexité.

 

Pour résumé, le film semblait prometteur, mais rien d’exceptionnel au final avec de bons acteurs mais pas forcément mis en valeur, ou à la bonne place. Et je pense, que ce film vise plutôt le grand public que le petit public, ce qui est un comble pour un conte comme celui-ci.

Note : 2/5

 


12/05/2015
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Pourquoi j'ai pas mangé mon père ? - Film

 

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 Le film d’animation, Pourquoi j’ai pas mangé mon père, de Jamel Debbouze avec les voix de Mélissa Theuriau (sa femme), Arié Elmaleh et bien évidemment Jamel en personne. Ce film est actuellement dans nos salles depuis le 8 avril 2015.

 

Pourquoi j'ai (pas) mangé mon père est l'adaptation libre et humoristique du roman de Roy Lewis, du même nom.

 

Synopsis : L’histoire trépidante d’Édouard, fils aîné du roi des simiens, qui, considéré à sa naissance comme trop malingre, est rejeté par sa tribu. Il grandit loin d’eux, auprès de son ami Ian, et, incroyablement ingénieux, il découvre le feu, la chasse, l’habitat moderne, l’amour et même… l’espoir. Généreux, il veut tout partager, révolutionne l’ordre établi, et mène son peuple avec éclat et humour vers la véritable humanité… celle où on ne mange pas son père.

 

Alors je suis plutôt mitigée par rapport à ce film, effectivement je m’attendais à une « Préhistoire de Ouf » mais comme on dirait familièrement, la sauce n’a pas prise.

 

Même dans la salle, les rires des spectateurs n’étaient pas au rendez-vous, ou du moins très peu. Je n’ai pas lu livre original, « pourquoi j’ai mangé mon père » de Roy Lewis, mais j’ai pu lire par-ci par-là, qu’il était beaucoup plus drôle que le film de Jamel Debbouze. Certes, ce dernier a décidé volontairement de s’en détacher au maximum, et l’assume pleinement.

Et pour le coup, j’ai trouvé l’histoire un peu confuse, et brouillonne par moments, et la même pour les personnages, donc on oublie facilement les noms.

Je m’attendais à un humour, digne de Jamel, mais ce ne fut pas le cas, car les dialogues étaient plutôt bas de gamme.Sans oublier, l’hommage à Louis de Funès, qui n’avait pas forcément lieu d’être dans ce film, mais que je respecte.

 

Ceci dit, je n’ai rien à dire sur les prouesses techniques de ce film d’animation, qui sont simplement remarquables.

 

Pour résumé, une petite déception, quand je me remémore l’engouement de ce film avant même la sortie en salles, qui plaira surement au plus petit et encore…

Note : 2.5/5

 


12/05/2015
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Jupiter, le destin de l'univers - Film

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Le film de science-fiction, Jupiter, le destin de l’univers, réalisé par Andy et Lana Wachowski (les créateurs de la trilogie Matrix) avec comme acteurs principaux, Mila Kunis et Channing Tatum, mais aussi Sean Bean.

 

Synopsis : Née sous un ciel étoilé, Jupiter Jones (Mila Kunis) est promise à un destin hors du commun. Devenue adulte, elle a la tête dans les étoiles, mais enchaîne les coups durs et n'a d'autre perspective que de gagner sa vie en nettoyant des toilettes. Ce n'est que lorsque Caine (Channing Tatum), ancien chasseur militaire génétiquement modifié, débarque sur Terre pour retrouver sa trace que Jupiter commence à entrevoir le destin qui l'attend depuis toujours : grâce à son empreinte génétique, elle doit bénéficier d'un héritage extraordinaire qui pourrait bien bouleverser l'équilibre du cosmos.

 

Tout d’abord j’ai été plutôt perplexe dès les premières minutes du film, puis au bout d’un moment j’ai réussi à me plonger dedans, sans pour autant y trouver un film d’exception.

 

Effectivement, les effets spéciaux sont plutôt pas mal, mais la bande-son m’a légèrement fait penser à la saga, légendaire, Star Wars [SPOILER : lors des batailles spatiales par exemple], mais également certains personnages ou du moins créature. Sans oublier de sentir un soupçon du film Dune, ou même Cloud Atlas. Et puis j’ai trouvé le scénario un peu brouillon, trop de personnages à retenir, je ne sais pas, il y avait quelque chose qui n’allait pas. Cependant, je tiens à faire une mention spéciale pour les costumes, et les tenues de Jupiter Jones (qui ressemblent étrangement à l’univers de Star Wars, et pour cette dernière, celles de Leila ou Amidala), ainsi que pour les décors, qui sont aussi surprenant les uns que les autres.

 

Pour le casting, même si j’adore Mila Kunis, je ne trouve pas qu’elle avait sa place dans ce genre film, malgré une bonne interprétation de sa part, et en ce qui concerne Channing Tatum, je l’ai trouvé remarquable et crédible (même je le dis une fois de plus, la version française laisse toujours un gout amer). Cependant j’ai trouvé leur romance, assez étonnante, et plutôt brouillonne aussi. Est-il vraiment obliger à tomber « amoureux » ?! J’en doute. Sans oublié Sean Bean, qui est plutôt appréciable dans le rôle de Stinger.

 

Bref, comme je disais plus haut, je suis assez perplexe sur ce film, il n’était pas mauvais, mais il n’était pas bon non plus. Ce qui vous donne droit, à un article court mais qui sera modifié prochainement, après un deuxième visionnage de ce dernier, afin d’améliorer, ou pas ma critique. 

 

Note (provisoire) : 2.5/5


10/05/2015
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American Sniper - Film

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 Le film de guerre American Sniper, coproduit et réalisé par (le grand) Clint Eastwood, sortie dans nos salles en février 2015, avec Bradley Cooper, et Sienna Miller comme acteurs principaux.

 

Il s’agit de l’adaptation de l’autobiographie homonyme du tireur d’élite américain Chris Kyle.

 

Synopsis : Tireur d'élite des Navy SEAL, Chris Kyle est envoyé en Irak dans un seul but : protéger ses camarades. Sa précision chirurgicale sauve d'innombrables vies humaines sur le champ de bataille et, tandis que les récits de ses exploits se multiplient, il décroche le surnom de "La Légende". Cependant, sa réputation se propage au-delà des lignes ennemies, si bien que sa tête est mise à prix et qu'il devient une cible privilégiée des insurgés. Malgré le danger, et l'angoisse dans laquelle vit sa famille, Chris participe à quatre batailles décisives parmi les plus terribles de la guerre en Irak, s'imposant ainsi comme l'incarnation vivante de la devise des SEAL : "Pas de quartier !" Mais en rentrant au pays, Chris prend conscience qu'il ne parvient pas à retrouver une vie normale.

 

Alors là, je n’étonnerai personne en nommant ce film comme excellent, (et un de plus) de Clint Eastwood. Je me moque des critiques négatives que j’ai pu lire sur la toile, (il en faut toujours de toute manière) mais moi j’ai vraiment aimé malgré une fin, un peu surprenante [SPOILER : On voit Chris Kyle partir avec un ancien combattant, et « bim » fin avec un seul message nous disant que ce dernier avait été tuer ce jour-là].

 

Hormis la polémique, qu’il a suscité à cause de sa « propagande », c’est un bon, où Clint Eastwood a su nous montrer l’horreur de la guerre d’Irak, et le courage de tous ces hommes qui sont prêts à tout pour sauver leur pays. Et puis la mise en scène est exceptionnelle, Clint Eastwood a trouvé le juste milieu, sans tomber dans le clicher « film de guerre dramatique » en ajoutant aussi un tout petit soupçon de comédie.

 

Et pour en venir aux acteurs, et commençons par Bradley Cooper, il est parfois méconnaissable (il a dû prendre du poids pour jouer ce rôle), et de plus, il me semble que c’est l’un des films où il joue, où il m’a complètement embarqué, et que j’ai trouvé remarquable. Et en ce qui concerne, Sienna Miller, elle m’a énormément touché (elle campe le rôle de Taya, la femme de Chris), et elle a également été extraordinaire, et m’a réellement bouleversé sans son rôle de femme de soldat, et mère de famille. (Et petite anecdote, on y retrouve aussi Lukes Grimes, qui joue le rôle de Mark Lee, que l’on a pu apercevoir dans le film Cinquante nuances de Grey où il interprète le rôle du frère de Christian Grey).

 

Sans oublier une bande son, extraordinaire.

 

Certains trouveront ma critique un peu trop positive, mais je ne peux me permettre de faire une critique négative sur une histoire aussi touchante, que celle de Chris Kyle

 

Note du film : 4.5/5

 


04/05/2015
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The Big Eyes - Film

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 The Big Eyes, un film biopic du (grand) Tim Burton avec comme acteurs principaux, Amy Adams et Christoph Walz.

 

Synopsis : Ce film raconte la scandaleuse histoire vraie de l’une des plus grandes impostures de l’histoire de l’art. À la fin des années 50 et au début des années 60, le peintre Walter Keane a connu un succès phénoménal et révolutionné le commerce de l’art grâce à ses énigmatiques tableaux représentant des enfants malheureux aux yeux immenses. La surprenante et choquante vérité a cependant fini par éclater : ces toiles n’avaient pas été peintes par Walter mais par sa femme, Margaret. L’extraordinaire mensonge des Keane a réussi à duper le monde entier. Le film se concentre sur l’éveil artistique de Margaret, le succès phénoménal de ses tableaux et sa relation tumultueuse avec son mari, qui a connu la gloire en s’attribuant tout le mérite de son travail.

 

Bon je ne vais pas vous caché que je suis une fan inconditionnelle de Tim Burton, et que pour le coup, j’ai aimé ce film.

 

Et pour une fois, nous ne retrouvons pas Johnny Depp, l’acteur fétiche et de prédilection de Tim Burton, et ni son ex-femme Helena Bonham Carter, mais Amy Adams qui campe le rôle de Margaret, une femme naïve, en manque de reconnaissance et de confiance en soi, et Christoph Walz, qui joue le rôle du mari de cette dernière, un personnage complètement égocentrique, et manipulateur, dont tous deux, jouent ses personnages à merveille.

 

J’ai pu lire sur quelques critiques que nous ne retrouvons pas l’univers de Tim Burton, et pour le coup j’aimerais savoir s’ils connaissent réellement son univers. Certes, ce n’est pas un film fantastique avec toute la folie et fantaisie que l’on a pu voir dans ses films précédents, mais nous retrouvons sa folie avec le personnage de Walter Keane, qui est complètement déjanté [SPOILER : mais aussi lors de la scène du supermarché, où Margaret voit les clients avec des grands yeux, comme dans ses peintures]

 

Je tiens également, à donner un point (très) positif sur la bande son du film, où l’on y entend Lana Del Rey, mais aussi (et comme souvent) Danny Elfman.

 

Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde, mais énervée (et non pour le film en lui-même) sur l’histoire du film en lui-même, une fois de plus (même si le film se déroule dans autour des années 60) je me rends compte que l’égalité homme-femme en est toujours au même point. Pauvre Margaret, dommage que son succès n’est pas été reconnu dès le début.

 

Bref, c’est plus un sujet débat, qu’une critique de film.

 

En tout cas, je conseille fortement ce film, c’est un biopic dramatique, certes, mais avec un soupçon de comédie dosée comme il faut.

 

Le règne de Tim Burton, ne cessera jamais, malgré la déception (pour certains) de son dernier film, Dark Shadow, le maitre est toujours présent, et il nous le démontre une fois de plus.

 

Note du film : 4.5/5


03/05/2015
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Pyramide - Film

 

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Pyramide est un film d’épouvante / horreur, réalisé par Gregory Levasseur en collaboration avec le producteur Alexandre Aja (précédemment connu pour La colline a des yeux), et sortira dans nos salles le 6 mai prochain.

Synopsis : en Égypte, en plein désert, des archéologues découvrent une pyramide unique en son genre. En y pénétrant, ils vont affronter bien plus qu’une malédiction. Ils sont piégés au cœur d’un labyrinthe, et quelque chose les traque.

Pyramide est filmée (en partie) en « found-footage », c’est-à-dire en caméra embarquée (comme le film [REC]) dont le début du film m’a fortement fait penser au film Catacombes.

Pour être honnête avec vous, dès mon premier « jump scare », je me suis dit que le film commencé fort, eh bien j’ai vite déchanté lorsque j’ai découvert ce qui les traqués [SPOILER : des chats égyptiens possédés, et un Anubis, en images de synthèse hyper mal fait]. Et puis en ce qui concerne le scénario, il est mauvais (voir très mauvais), ainsi que le jeu d’acteur des personnages (qui ne dégage en aucun cas réellement l’angoisse), et la fin du film est carrément bâclée.

[SPOILER : Ce film aurait pu avoir du potentiel, avec plus de pièges et d’énigmes dans la pyramide, par exemple].

Enfin, bref, j’ai du mal à écrire cette critique car pour le coup ce film ne mérite aucun point positif mais que du négatif. Comme je le disais plus haut, je pense que ce film pourrait plaire à ceux qui ont aimé le film Catacombes (qui est aussi nul que ce dernier), et je suis bien contente d’avoir économiser 10.20 euros ma place de cinéma pour voir cette daube.

 

Note du film : 1.5/5


03/05/2015
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Un voisin trop parfait - Film

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Un voisin trop parfait, un thriller réalisé par Rob Cohen, sorti le 23 janvier aux USA, dans sur nos écrans le 20 mai 2015. Avec comme acteurs principaux Jennifer Lopez, Ian Nelson, et Ryan Guzman.

 

Synopsis : Une mère, récemment divorcée, a une aventure avec un jeune homme de son quartier. Quand ce dernier sympathise avec son fils et qu’elle décide de mettre fin à leur relation, les problèmes commencent.

 

Donc pour commencer je ne suis pas d’accord avec le synopsis, que j’ai trouvé sur AlloCiné [SPOILER : Claire Peterson (Jennifer Lopez) apprend que son mari, voit toujours son ex maitresse lors de ses voyages d’affaire mais vivent toujours plus ou moins sous le même toit afin de sauver leur couple. Mais elle rencontre le nouveau voisin, Noah (Ryan Guzman) avec qui elle sympathise, puis fini par avoir une relation sexuelle avec lui. Dès le lendemain, elle se rend compte de l’erreur commise, et là, les problèmes démarrent].

 

Je tiens à noter, que ce film est interdit aux enfants moins de 12 ans (en France), ce qui me fait doucement sourire après la polémique du film 50 nuances de Grey [SPOILER : la scène de sexe entre Claire et Noah est plutôt démonstrative, et plutôt « hot », l’acte est clairement filmé, et puis dans une autre scène, on aperçoit Noah entièrement nu avec une jeune femme, qui cette dernière, lui offre une fellation] car dans ce film, nous ne voyons pas plus les actes sexuels que dans Un voisin trop parfait. Alors le scandale de nudité en France, et du grand n’importe quoi.

 

(Bref, passons car je vais m’attarder sur le sujet encore longtemps)

 

Le film en lui-même, est pas mal, un semblant de déjà vu certes, [SPOILER : un psychopathe qui harcèle une femme, dans sa vie, auprès de ses amis, à son boulot etc.] mais ce n’étais pas non plus du grand cinéma proprement parler. Ce film aurait pu être classé dans la catégorie « téléfilm » cela ne m’aurait pas choqué plus que ça.

 

Cependant Jennifer Lopez est plutôt convaincante dans ce genre de film, que dans les films du genre comédie/romantique (Coup de foudre à Manhattan, Sa mère ou moi etc.), et puis c’est toujours un plaisir pour les yeux, parce que même en tant que femme je la trouve sublime.

 

En ce qui concerne Ryan Guzman, je le découvre à peine, et croyez-moi les filles, il est vraiment SEXY, je trouve qu’il a un jeu plutôt bon, mais pas parfait non plus (un comble oui, pourtant il est censé être un voisin parfait).

 

Enfin pour résumé, c’est un thriller qui reste à voir sans pour autant s’attendre à quelque chose d’exceptionnel. 

 

Note du film : 2.5/5


26/04/2015
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Ouija - Film

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Ouija, un film épouvante/horreur, réalisé par Stiles White, par les producteurs de Massacre à la tronçonneuse, et le producteur d’Insidious. En salle le 29 avril 2015.

 

Synopsis : Après avoir perdu Debbie, son amie d'enfance, dans des circonstances atroces, Laine tombe sur une vieille planchette Ouija dans la chambre de Debbie et tente alors d'y jouer pour dire "Au revoir" à la disparue… Pour l'heure, seul Pete, petit copain de Debbie, accepte de l'aider. Convaincue qu'il ne peut s'agir d'un suicide, Laine mène l'enquête et découvre que l'esprit convoqué par la planchette se fait appeler "DZ" et tient à poursuivre la partie coûte que coûte…Tandis que des événements de plus en plus étranges se multiplient, Laine sollicite l'aide de sa sœur cadette Sarah, de son amie Isabelle et de son petit copain Trevor Peu à peu, les cinq adolescents se plongent dans l'histoire de la maison de Debbie et comprennent que leur amie n'était ni la première victime, ni la dernière. Et s'ils ne parviennent pas à refermer le portail qu'ils ont dangereusement ouvert, ils connaîtront le même sort que celle qui les a initiés au jeu d’Ouija…

 

Il a été annoncé comme LE film d’épouvante de l’année, et bien honnêtement j’ai été réellement déçu, et je n’ai eu aucun frisson, même pas un tout petit peu. Et puis le film additionne les défauts, et franchement on s’ennuie, et le film nous paraît long, beaucoup trop long.

Encore une histoire d’esprit, donc rien de nouveau [SPOILER : comme l’explique le synopsis, un esprit hante la maison de Debbie, suite à un drame « familial » qui concerne la mère et ses deux filles, qui a été tué par l’une des deux filles, à cause des souffrances qu’elles ont subies]

Les moments de « peurs » sont classiques [SPOILER : une porte qui claque, une personne apparaît en allumant la lumière, un caddy bouge tout seul etc.] donc rien de vraiment flippant dans le film en lui-même, ou plus exactement des « jump scare » à répétition sans aucun intérêt.

 

Le jeu d’acteur n’est pas terrible (version canadienne étant donné qu’il n’est pas encore sorti au cinéma), ils m’ont personnellement plus ennuyé qu’autre chose, et le personnage principal, Laine, n’est pas plus convaincant que ça. Et en ce qui concerne les autres personnages, ils ne servent à rien.

Une grosse déception donc, pourtant le producteur d’Insidious y a participé, et je m’attendais donc au même effet que j’ai eu lors du visionnage de ce film.

Donc pour résumé, un film plutôt « cliché », rempli de « jump scare » et qui attirera plus les adolescents, ou les inconditionnels du film Annabelle (que j’ai également trouvé nul à mourir) que les personnes adeptes des VRAIS films épouvante /horreur.

Et il est loin, très loin, d’être LE film de l’année. 

 

Note du film : 2/5


22/04/2015
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Astérix et le domaine des Dieux - Animation

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Astérix et le domaine des Dieux, un film de Louis Clichy et Alexandre Astier (Kamelott) sortie le 26 novembre 2014.

 

Synopsis : Nous sommes en 50 avant Jésus-Christ ; toute la Gaule est occupée par les Romains… Toute ? Non ! Car un village peuplé d'irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l'envahisseur. Exaspéré par la situation, Jules César décide de changer de tactique : puisque ses armées sont incapables de s’imposer par la force, c’est la civilisation romaine elle-même qui saura  séduire ces barbares Gaulois. Il fait donc construire à côté du village un domaine résidentiel luxueux destiné à des propriétaires romains. : « Le Domaine des Dieux  ». Nos amis gaulois résisteront ils à l’appât du gain et au confort romain ? Leur village deviendra-t-il une simple attraction touristique ? Astérix et Obélix vont tout faire pour contrecarrer les plans de César.

 

Alors avant de commencer, je suis une grande fan des BD Astérix mais également des dessins animés du même nom. Cependant depuis que nous sommes passés à l’animation, je suis de plus en plus déçue (mais bon ça le film n’y peut rien, vu que nous sommes maintenant au 21eme siècle et que les coups de crayon n’existent plus, ou très peu), et l’histoire d’Astérix perd tout son charme, et parfois même son humour.

 

Effectivement, avec Alexandre Astier dans l’écriture, je m’attendais à rigoler du début à la fin, mais malheureusement cela n’a pas été le cas. Je ne dis pas non plus, que je n’ai pas décroché un petit sourire par-là, mais il manquait ce quelque chose qui fait que nous aimons les aventures de notre gaulois préféré. Cependant, je reconnais qu’il a quand même des similitudes avec la BD, malgré une libre adaptation pour le reste de l’histoire.

 

Je reste plutôt mitiger, je n’ai pas aimé, je n’ai pas détesté non plus. Je ne reproche rien à l’animation qui est quand même bien réalisé mais ce film reste sans âme.

 

En résumé, je pense que film d’animation était plutôt dirigé vers les enfants, qui ne connaissent que « l’animation » qu’aux inconditionnels des aventures d’Astérix

 

Note du film : 2.5/5 


19/04/2015
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